• S'en plaignent. Jcomprendrai jamais qu'on puisse se plaindre d'un cadeau de la nature. Se plaindre qu'on vienne nous faire la cour incessament parce qu'on nous trouve totalement charmante, je sais pas, je trouve ça un peu démesuré. Parce que si c'est tellement invivable pourquoi ne pas se négliger, ne plus prendre soin de soi-même ?
    Oui, je pense que c'est un jeu : vous me trouvez jolie, vous m'aimez, mais ça me dérange un peu quand même que vous soyez toujours à mes basques. Quand on est belle et qu'on le sait, pourquoi ne pas en profiter ? Vision opportuniste, je vous l'accorde mais bon, c'est toujours mieux que de s'en plaindre.
    Vous allez peut-être prendre ma reflexion pour de la pure et simple jalousie. Peut être.


    Pensez ce que vous voulez, tant que vous pouvez encore penser.


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  • Je t'aime. :) Ca fait tellement longtemps qu'on se connaît, qu'on se cherche... Que je n'en trouve plus mes mots. Je t'aime tellement. Tellement que tu es en permanence dans ma tête.

    Oui je sais, ce sont des phrases " bateaux " mais... c'est l'amour. ^^

    Tu rends ma vie rose bonbon et rien que pour ça... un gros je t'aime mon amour.


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  • Jme sens prise au piège. Les cours. Les inscriptions. La peur de l'échec. Je doute de moi même. Et des autres. Et je suis malheureuse ainsi. Car je n'arrive plus à faire confiance. Parce que toutes les nuits, mon coeur bat à toute vitesse sans que je ne sache pourquoi.

    Besoin d'isolement.


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  • Angoisse, angoisse de mes nuits,
    Ce visage, tu le reconnais ?
    Oui, angoisse, toi, celle que je fuis,
    Celle qui lacère mes pensées,
    Chaque pas loin de toi me rapproche du doute,
    Chaque vertige m'éloigne de la réalité,
    Comme si mon destin avait déjà épousé ta route,
    Je subis, je m'abaisse, et peu à peu je perds pied...

    Désillusion, désillusion de la vie,
    Ce regard t'est familier ?
    Cette voix qui à jamais souffle " tragédie "
    Résonne en moi comme les mélodies du passé.
    Cachée dans mon coeur, tu ne te laisses pas attendrir,
    Seule, tu vis dans l'ombre de ta soeur l'Illusion,
    Attendant ton heure, sans risque de souffrir,
    La mort étant ton unique pulsion...

    Mort, mort de ce que j'étais,
    De l'innocence qui émanait de mon âme,
    Aimes-tu cet être métamorphosé ?
    Ce personnage qui, telle une flamme,
    Se consume à la moindre de ses passions ?
    Cette dissociation de soi diluée dans une vie fantasmée
    Suscite alors de vives réactions,
    Mais que faire lorsque la vie est une mélancolie masquée ?


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  • J'ai comme l'impression que plus je me pose de questions, moins je comprends les choses. Il y a cette personne, insensible, qui a grandi en moi, au fil des rancoeurs, des déceptions, des coups durs : mais ce n'est pas moi. Même lorsque je me regarde dans un miroir, j'ai du mal à reconnaître celle que je vois. Comme si je m'étais étrangère. Cette personne est le fruit de l'incompréhension, du rejet, de la haine qu'Emilie éprouve. Mais c'est comme si des personnes différentes habitaient son corps.

    Elle aime, elle déteste; elle est émue, elle est déçue; elle se protège, elle s'expose; elle cache le mal en faisant le bien. Avez-vous déjà eu l'impression que chaque pas vers la vie nous rapproche d'un gouffre sans fond ? L'impression que rien ne s'arrangera jamais ?


    Je garde toujours l'espoir qu'un jour, je n'aurai plus à penser ces choses, mais l'heure est aux regrets et à l'amertume...

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