• Jpense que jdevrais faire le point sur ma vie pour expliquer mes réactions actuelles. Ce qui pourrait expliquer que jréflechisse autant. Que jsache pas ce que je veux réellement. Faut que jfasse un arrêt sur image pendant un moment.

    Je dis n'importe quoi.

    Je fais n'importe quoi.

    Avant, j'avais l'excuse des hormones. Mais là, j'en ai plus. 'Fin plus trop quoi.

    En plus, j'suis malade comme un chien. Et comme de par hasard, le téléphone n'a pas arrêté de sonner. Nan mais ça donne des envies de meurtres ça. Devoir s'égosiller pour dire que nan ça va pas, et qu'on peut pas trop parler. De tousser, d'éternuer toute la journée et de comater devant les débats au Sénat.

    Je sais qu'il y a des gens plus malheureux que moi sur cette Terre. Mais jle suis aussi, alors j'ai pas besoin de penser à d'autres malheureux pour l'instant.

    Puis merdeuh.

    1 commentaire
  •  Rien à branler. Rien à branler de c'que tu dis. Rien à branler de ta correction. Rien à branler de c'que pense le journaliste. Rien à branler de Tony Blair. Rien à branler de la Grande-Bretagne. Rien à branler de ce cours. Plus rien à branler de cette fac. Rien à branler de ce corrigé. Rien à branler d'assister aux cours ou pas. Rien à branler de taggle de conne. Rien à branler de l'actualité. Rien à branler de ce texte. Rien à branler de David Cameron. Rien à branler du Labour ou du Conservative Party.

    Rien à branler des gens. Rien à branler de mes études.  Rien à branler du mariage. Rien à branler de tes remarques, face de gremlin.

    J'en ai plus rien à branler de tout. Ce qui se révèle problématique, parce que les gens pensent vraiment que je vais mal. Mais je vais très bien. Juste que maintenant quand j'ai des problèmes, j'm'en branle. =) J'ai plus le temps de me soucier des choses. Puis j'en suis arrivée à un point où j'ai plus le choix. Je suis le superbe résultat d'un amas de déceptions. Yeah \o/.

    Pourtant à la base, j'étais pas si pessimiste. Cynique. Mais j'crois que c'est le meilleur moyen de s'en sortir dans la vie. Parce que quand on est gentil(le), on finit toujours par se faire eu. Et jpréfère eu les gens avant qu'ils ne le fassent.

    Est-ce que j'ai des problèmes ? Oui, de tous les ordres, même. Mais ça ne m'empêche plus de vivre. Ca m'empêche de me tourmenter. Peu de choses retiennent encore mon attention.

    PUTAIN MAIS JMANFOO DE CE COURS.

    Je savais que j'auras pas dû venir. Parler politique en France ça me gave déjà alors la GB... C'est ça le plus chiant en fait. C'est d'assister à un cours sachant qu'on en a rien à foutre de ce que le/la prof dit, mais on y va quand même par conscience scolaire.

    Le problème avec le jem'enbranlisme, c'est que l'ennui se manifeste assez vite et que le seul moyen de le vaincre est la critique. La critique constante. La critique me fait vivre. Il ne se passe pas un jour sans que je le fasse.

    Et maintenant, jme défoule au fitness. Mais ça fait mal, un peu. Mais pas trop.

    Au final...

     

    RIEN A

     

     

    BRANLAAAAAAY !


    5 commentaires
  • Bruyamment. Mais le son de la radio, de cette greluche qui donne des pseudo-conseils à des gens avides d'orgueil, étouffait mes pleurs. Et tant mieux d'ailleurs.

    Peut être parce que je suis perdue. Que je ne sais plus où j'en suis, quelque soit le domaine. Que j'aime et que je déteste les gens. Peut être parce qu'il me manque. Parce que d'entendre ses conneries avant de m'endormir, ça me manque. Parce que le réveiller à 7h du matin, en chantant fort, pour qu'il me gueule dessus après, ça me manque. Parce que je ne sais plus quoi attendre. Parce que je ne sais plus ce que j'espère. Ce que je veux vraiment. Je te veux mais je ne veux plus souffrir. Parce que je suis instable. Parce qu'un matin, je me lève, je me dis que je suis bien. Parce que le lendemain, je n'aurai pas envie de me lever. Parce que des fois j'en ai tellement plus rien à foutre que j'ai des comportements excessifs pour faire passer cet état. Parce que tout simplement, c'est peut être pas en se disant que tout va bien, que tout ira bien.

    Ou peut être simplement parce que j'avais envie de pleurer.


    3 commentaires
  • A qui la faute?
    Quand je les cherche, tes yeux me fuient.
    Tu me défies, je m'oppose,
    Sommes-nous devenus ennemis?

    Je n'ai pas la clé,
    De tous tes rêves de lendemain.
    J'ai trop longtemps tu le sais,
    Parcouru seule mes chemins.

    Garde-moi,
    Tu ne vas pas, comme ça, sans rien dire, partir.
    On se fait mal,
    En essayant de se retenir, encore.

    J'ai déjà froid,
    A l'idée de vivre ton absence.
    Où trouver la force en moi,
    Si t'aimer n'a plus aucun sens?

    Pourquoi se mentir?
    Faire semblant d'y croire à nouveau.
    Qu'importe ce qu'on peut se dire,
    On a usé tout les mots.

    Garde-moi,
    Tu ne vas pas, comme ça, sans rien dire, partir.
    On se fait mal,
    En essayant de se retenir, encore.

    Encore...

    Faire sembant d'y croire encore!

    Garde-moi,
    Tu ne vas pas, comme ça, sans rien dire, partir.
    On s'est fait mal,
    Est-ce qu'on pourra s'aimer sans souffrir?

    Encore...

    2 commentaires
  • Vous non plus, vous savez pas c'que c'est une vieille baderne ? Jl'ai entendue pour la 1ère fois, lorsque j'étais chez une de mes élèves. ‘Fin la seule élève féminine que j'ai.

    Bah en fait cette élève, c'est ma vieille baderne. Elle est très extravagante, complètement décalée. Elle est capable de faire voler les feuilles dans une pièce dans un ptit coup de folie. Elle aime bien quand je lui apprends des grossièretés en anglais. Elle a des amies qui lui ressemblent assez au niveau caractère.  Elle, elle a pas voulu se marier. Elle sanfoo. C'est ça que j'admire chez elle... Sa facilité à vivre, à tout gérer. Quand je sors de chez elle, j'ai toujours le sourire. Elle profite de la vie à sa façon.

    ‘Fin en résumé, je l'adore. *_*


    votre commentaire